une si belle journée commençait...

le ciel était bleu est pur, le soleil
brillait, les petits oiseaux chantaient, l'air était pur (du
moins comparé à celui des villes), la nature vibrait et
faisait vibrer mon âme...
elle était restée longtemps au lit, profitant de la douceur des draps.
puis elle sauta du lit,
se lava, s'habilla, mangea des blinis avec du saumon et un yaourt aux
mûres, et après avoir donné pleins de caresses
à son adorable minet, elle sortit de chez elle.
deux kilomètres à pied (avec des souliers qui commençaient à lui user les talons) plus loin, elle
arriva en ville et retrouva son amie. ensemble elles
traînèrent dans les magasins, mangèrent des
patisseries, rigolèrent souvent...
mais soudain : une mauvaise rencontre. une bande d'ados boutonneux
sans cervelle qui commencent à insulter son amie. toutes deux
font mines de les ignorer, en vain. la "tête" (vous l'aurez
compris, c'est de l'ironie) du groupe continue à la harceler de
plus en plus cruellement et pousse les autres à faire de
même. elle
n'en peut plus, veut défendre son amie et dit à
l'espèce de baleine de se barrer en vitesse et d'aller s'acheter
une cervelle et de la gentillesse par pots de mille litres. puis elle
en traîne son amie plus loin, essayant d'échapper à
ces enquiquineurs de première... alors l'autre commence à
leur tirer les cheveux, à les pousser, voir cogner dans le dos.
et elle de marcher de plus en plus rapidement. à la fin, elle n'en peu plus. elle
dit à ces abrutis de ce casser et de leur foutre la paix. ce qui
ne plait pas du tout à la grosse baleine qui commence à la gifler. alors elle se défend. l'autre lui donne un coup si fort qu'elle
est sonnée, tombe à terre, se cogne une deuxième
fois la tête contre un mur et manque de s'évonouir sur le
trottoir pendant que la bande lui donne des coup de pieds dans le ventre, les bras et les jambes...
puis ils s'en vont comme si de rien n'était...
son amie l'aide à se relever, mais elle s'enfuit.
elle marche au hasard des rues, évitant tout de même celles où elle pourait croiser à nouveau ces brutes, et finit par rentrer chez elle pour soigner ses blessures...
et elle pleure longtemps aussi.


pourquoi losque l'on veut aider quelqu'un, un ami ou un inconnu, cela retombe toujours sur nous ?

à quoi cela sert-il?

j'ai perdu le peu de foi que j'avais en l'humanité, et rien ne poura me la faire retrouver.

tuez les tous ! ou bien stérilisez les, je m'en fiche ! mais il
faut éliminer l'espèce humaine en entier car elle est la
pire abonination de l'univers !



sophia, qui ne comprend pas pourquoi le monde n'est que souffrance...